Prétexte du film :
Un expert psychiatre enseigne à un petit groupe d'étudiants les principales formes de perversion sexuelle, et passe en revue particulièrement certaines déviances, parfois illustrées par le témoignage des étudiants eux-mêmes.
Sur le ton d'un documentaire pseudo-sociologique, ce long métrage exploite la curiosité malsaine du spectateur. Par exemple, pour illustrer le postulat que la musique diffusée dans les discothèques (dites ici "sexothèques") éveille l'appétit sexuel, les réalisateurs insèrent une longue scène d'orgie extraite d'un film américain.
Il tient à chacun de vouloir ou non juger sur pièces de cet exemple du cinéma bis italien catégorie "douteux".
le film
les sous-titres maison
Les "sexothèques" ! Un concept douteux à développer en masse pour les prochaines élections de 2017. lol
RépondreSupprimerIntéressant tout ça, merci d'avance !
RépondreSupprimerAssez géniale comme programmation !
RépondreSupprimerDécidément, tu sais aller rechercher les oeuvrettes intéressantes !
Un grand bravo !!!
En fait un espèce de film d'exploitation un peu curieux, qui se rapprocherait un peu du mondo non ?
RépondreSupprimerMerci pour cette proposition.
Tout à fait, c'est le reflet d'une époque de libération des moeurs jusqu'à un point quasi absurde, d'où cet excès dans la complaisance maquillé pour donner un air d'enquête sérieuse.
Supprimerun film "no-por" italien? curiosité, peut-être? merci pour la trad.
RépondreSupprimerune curiosité de Renato Polselli, dont a rarement l'occasion de découvrir les réalisations. Merci pour ce choix, comme toujours, judicieux. et de nous l'avoir traduit
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