samedi 24 février 2024

Olga's house of shame (1964)

Avec l'aide de son frère Nick et de la douce Elaine, une victime devenue sa protégée, Olga dirige une bande criminelle dans un nouveau lieu, une mine désaffectée du nord de l'État de New York, tout en s'adonnant toujours avec joie à des activités telles que l'humiliation et la torture...

 


 

Cette "suite" ressemble à Olga's girls, avec toutefois du côté technique quelques passages en prise de son directe, où l'on entend la voix d'Olga.  


 

"Dans ce troisième volet de la série "Olga", notre héroïne ajoute la contrebande de bijoux à son répertoire de trafic de drogue et de traite des blanches. Alors que la vicieuse Olga (Audrey Campbell) étend son empire criminel, elle se heurte également à une plus grande résistance, car une série de partenaires, autrefois dignes de confiance, deviennent des traîtres dans le but de récupérer ce racket fructueux. Le résultat est exactement ce que les fans de la série attendent, des scènes de torture avec des fers à souder, des flagellations, des fessées et même une chaise électrique. Comme ses prédécesseurs, Olga's House of Shame est un film muet en noir et blanc avec une narration pour expliquer l'action, mais même avec un commentaire direct, il est difficile de suivre les personnages et Campbell (que l'on surprend parfois en train de rire à gorge déployée devant l'absurdité de la situation) a l'air d'une institutrice de maternelle, même lorsqu'elle brandit une machette. Il n'en reste pas moins que tout film mêlant lingerie et sadisme ne peut que fasciner un certain public, comme le prouve sa popularité actuelle. " (https://www.allmovie.com/movie/olgas-house-of-shame-vm218972)

 



Sur les cinq films avec ou inspirés du personnage d'Olga, je laisse de côté le premier, White slaves of Chinatown (1964), qui est tout en voix off, et traduirai éventuellement Olga´s Dance Hall Girls (1969), en attendant de trouver une copie de celui qui succède dans la chronologie à ce House of shame, à  savoir Mme Olga's Massage Parlor (1965).

Il va sans dire que ces films n'ont à ce jour aucun sous-titre dans aucune langue, c'est donc grâce à la création maison de timecodes que j'ai pu me lancer dans cette "saga".
 
 



7 commentaires:

  1. Merci beaucoup pour la traduction de cette série Olga! les films se suivent mais peuvent-ils se voir dans le désordre?

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  2. le olga show continue, merci de ces présents

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  3. Merci pour ces découvertes !

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  4. Votre blog a été un trésor de connaissances pour moi, et vos dernières mises à jour ne sont pas une exception.

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    1. Merci pour ce commentaire. J'apprécie toujours autant moi aussi de découvrir dans les livres, sur les blogs et autres sites web, des aspects insoupçonnés de l'histoire du cinéma - pour ma part jusqu'au début des années 80. Je pensais pouvoir me contenter de visionner les films en VO, VOSTFR ou VF, mais je n'ai pas pu résister à l'envie de traduire à nouveau, et en partant de rien de surcroît.

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