Première partie : Too much too often (1968)
"Respirez profondément, méditez quelques instants pour vous purifier l'esprit, assurez-vous qu'il n'y a pas d'objets pointus dans la pièce, attachez votre ceinture de sécurité et entrez prudemment dans le monde de Too Much Too Often, une nouvelle tranche de surréalisme involontaire de la première dame de la Sexploitation, la réalisatrice et productrice DORIS WISHMAN (ici créditée sous le nom de son mari de l'époque, Louis Silverman). Mais attention : votre esprit ne sera peut-être plus jamais le même..."
Source et suite en anglais : https://worldscinema.org/2019/01/doris-wishman-too-much-too-often-1968/
Mike Dawson est un séducteur qui passe ses journées à aller d'une femme à l'autre. Il est aussi maître chanteur, car son rêve est de posséder son propre appartement. Tout va bien jusqu'à ce que Mike fasse chanter M. Dite, un publicitaire adepte du masochisme. Profitant de la faiblesse de Dite, Mike le force à lui donner un emploi confortable, puis profite de sa nouvelle position pour voler les clients de Dite, séduire l'élégante fille de ce dernier, Sarah, et grimper dans l'échelle sociale...
Les sous-titres maison seuls :
https://www.opensubtitles.org/fr/subtitles/9803796/too-much-too-often-fr
https://subscene.com/subtitles/too-much-too-often/french/3228317
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Deuxième partie : Keyholes Are for Peeping (1972)
Après avoir obtenu son diplôme par correspondance, un conseiller matrimonial donne des conseils sexuels à ses voisins, Ils sont loin de se douter que leurs moments les plus intimes sont regardés par le trou de la serrure par l'homme d'entretien qui a accès à tout l'immeuble...
"Personne ne fera jamais de films comme Doris Wishman en faisait. L'une des réalisatrices les plus prolifiques de l'histoire du cinéma américain, la scénariste, réalisatrice et monteuse Wishman, a créé des mélanges entre le surréalisme et l'exploitation qui semblent sortir d'un univers alternatif. KEYHOLES ARE FOR PEEPING - la première et dernière incursion de Wishman dans la "comédie" avec l'imitateur de Jerry Lewis Sammy Petrillo - voit Stanley Bebble (Petrillo) et sa mère (également Petrillo) jouer le rôle de thérapeutes de l'amour pour les différents fous qui vivent dans leur immeuble. Ce film, qui ressemble à un collage, comprend des séquences sexuelles psychédéliques, des gags bizarres et de nombreux extraits des films précédents de Wishman. (...). " (source : https://www.americangenrefilm.com/theatrical-film-catalog/keyholes-are-for-peeping/)
https://www.opensubtitles.org/fr/subtitles/9803830/keyholes-are-for-peeping-fr
https://subscene.com/subtitles/keyholes-are-for-peeping/french/3228326
C'est Noël avant l'heure. Hier Blue Demon et aujourd'hui deux films de Doris Wishman. C'est presque magique.
RépondreSupprimerQuel festin ! Vive Doris Wishman
RépondreSupprimerD'accord avec Schoub, ça ressemble furieusement à noël !
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