lundi 27 janvier 2025

Getting Into Heaven (1970)

 La jeune Heaven se rend à Hollywood pour devenir une star. Elle emménage avec son amie Sin, et toutes deux passent une audition avec un producteur nommé Salacity.

 


 

Uschi Digard dans le rôle principal, et visible longuement sous toutes les coutures, c'est rare et c'est dans ce film !

Le casting est par ailleurs très simple :  quatre autres personnages, et le tour est joué !

 

A part ça, rien que de très banal, un peu moins de 1h30 de film adulte au scénario très mince, aux longueurs certaines, mais pour servir à la culture générale des amateurs de nudité du début des années 70, et remarquez-le bien, avant l'arrivée massive en quelques années aux USA des vrais films X (ici il s'agit de simulation d'actes, malgré le "rated X" sur l'affiche). Nous sommes donc dans une phase de transition dans l'histoire du cinéma entre la sexploitation et le porno.

Par ailleurs, si quelqu'un a traduit ou va traduire l'autre réalisation de Edward L. Montoro, The losers (1968), il serait bien aimable de nous en faire part. Sinon on risque fort de retrouver un sous-titrage inédit sur ce blog un jour ou l'autre...

Phyllis Stangel est Karen

Jennie Lynn est Sin

Miles White, un peu caché derrière Heaven, est monsieur Salacity.

Scott Cameron est Bernie.


Sous-titres maison inédits : 

https://www.opensubtitles.org/fr/subtitles/12948619/getting-into-heaven-fr

Film en VO - partage non renouvelable : 

https://mega.nz/file/0XMnXCRB#WClllLpoeOVfTxsbkMfP3i6m7Xp19UqkSQsoqX2tQBI

 

5 commentaires:

  1. Merci beaucoup pour cette decouverte et sa trad !

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  2. Je ne regarde pas tous les films diffusés ici mais je suis vraiment laudatif du travail d'exploration dans ce cinéma méconnu et date, bien que très intéressant.

    Vraiment, bravo !

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    Réponses
    1. Tes avis et commentaires sont bienvenus. Ce que je fais mêle plaisir de la découverte, volonté de m'entraîner régulièrement à l'écoute de l'anglais, et de partager une passion pour le cinéma en marge des poncifs grand public. Ceci dit, je suis spectateur attentif des films d'aujourd'hui, pour lesquels je me déplace - trop peu - en salle. Je ne saurais théoriser comme d'autres le font sur un cinéma "qui ne se fait plus", ou idéaliser une époque. Pour moi, les années 60/70 sont un creuset d'évolutions et révolutions culturelles dans les sociétés occidentales et aussi en Amérique latine et en Asie. C'est flagrant en musique, mais je préfère de peu m'attarder sur la partie 7e art.

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  3. Que tout ça est bien exprimé ;) En tout cas moi je suis super admiratif du fait que t'arrives à traduire des films anglais juste à l'oreille, alors là ça me bluffe complet. En tout cas chapeau bas l'artiste. Quand au niveau du choix des films que tu proposes on reste souvent cantonné aux films sortis par SWV (ce qui n'est évidemment pas pour me déplaire, au contraire). En tout cas, il y a trop peu de français à mon goût qui s'attarde sur les films de ce catalogue (hormis pour les grands comme H.G. Lewis par exemple) aussi là encore ça fait super plaisir. Je sais qu'à chaque fois que tu partages un de tes choix, je suis toujours ravis (you've got good taste comme dirait les Cramps). Merci, merci vraiment d'éxister sur la toile et pour tout le boulot de fou que tu fais.

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  4. Pareil que schoub , j adoote les cramps et LCDG.
    Merci pour TOUT.
    Lbz

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Merci de votre participation, et n'hésitez pas à proposer des liens ou vos propres traductions !
A bientôt !

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