vendredi 23 février 2024

Olga's Girls (1964)

 Olga, trafiquante de stupéfiants impitoyable et chef d'un réseau de traite des blanches, maintient son harem de filles dans le droit chemin en leur faisant prendre des drogues addictives. Olga soupçonne la présence d'une informatrice parmi elles et utilise diverses méthodes de torture pour confondre la moucharde, ce qui amène plusieurs prostituées et toxicomanes à se retourner contre leur cruelle maîtresse...


 


 "Objet de culte notoire en raison de sa représentation exagérée du sadisme (allant du simple fouet à l'ablation de la langue d'une femme), Olga's Girls a été suivi de deux suites, ainsi que de deux films "Olga" ultérieurs qui ne mettaient pas en scène Audrey Campbell et qui n'étaient pas directement liés à la série précédente." (https://www.allmovie.com/movie/olgas-girls-vm69558)



 

"Ce film lugubre et cauchemardesque est la suite du célèbre film de sexploitation White Slaves of Chinatown (1964) et, comme son prédécesseur et son successeur immédiat (Olga's House of Shame, également 1964), met en scène Audrey Campbell dans le rôle d'Olga, la belle et sadique chef d'un réseau de prostitution et de narcotiques contrôlé par la mafia et financé par les communistes. Olga's Girls est l'intrigue la plus complexe du trio ; ici, Olga réprime brutalement un mouchard de la police et une rébellion de prostituées dans ses rangs, mais, comme pour les autres titres de la série, l'histoire n'est guère plus qu'un cadre permettant au réalisateur Joseph P. Mawra et au légendaire producteur d'exploitation George Weiss de montrer une série de scènes grossières et vicieuses sur le thème du bondage et de la soumission. Si ces scènes avaient bénéficié d'un quelconque budget, la vigueur infernale avec laquelle elles sont exécutées les aurait rendues irregardables. Mais leur puissance est quelque peu diminuée par un commentaire courant quasi hystérique de Campbell et du narrateur Perry Peters, qui remplace tous les sons de synchronisation et les dialogues, ainsi que les performances primitivement mimées. Mais les scènes de torture, filmées par le directeur de la photographie Werner Rose dans un mélange étrange de styles documentaire et noir, conservent un aspect indéniablement troublant, comme des séquences transmises depuis une réalité alternative peu glorieuse. (...) les trois films "Olga" (le quatrième, Olga's Dance Hall Girls, est une tentative édulcorée) ne sont conseillés qu'aux étudiants sérieux en exploitation ou aux spectateurs ayant des goûts similaires." (https://www.allmovie.com/movie/olgas-girls-vm69558/review)


Les sous-titres maison : 

https://www.opensubtitles.org/fr/subtitles/9904425/olga-s-girls-fr


2 commentaires:

  1. Merci beaucoup pour ces classiques de la sexploitation en version française!!

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  2. Un grand merci de nous faire découvrir Olga !

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